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Télécharger le le Guide du P’tit Ecolo du littoral : pole-lagunes.org/nouveau-ptit-ecolo-littoral
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La lagune de La Palme est reconnue pour la beauté de ses paysages, la bonne qualité de ses eaux et la diversité de sa faune et de sa flore. Ce réservoir de biodiversité est situé au coeur du Parc Naturel Régional de la Narbonnaise en Méditerranée et accueille une grande diversité de milieux naturels et d’oiseaux, en migration, pour leur reproduction ou en hivernage. A La Palme vous pourrez observer bon nombre d’espèces d’oiseaux : Avocettes, Echasses blanches, Gravelots à collier interrompu, et même le rare Goéland railleur. Soyez discret et attentif et ils vous feront partager leur intimité.
Où observer les oiseaux à La Palme : Au Salin, à l’étang et sur la plage.
Vous trouvez un animal en détresse : Contactez le Centre régional de sauvegarde. Plus d’infos
Protéger, Sauver, Prévenir : cliquez ici
Connaitre les oiseaux nicheurs des falaises de l’Aude en cliquant là (réalisé par la LPO)
Connaître les contraintes de la reproduction des oiseaux sur les plages et lidos en cliquant ici
Voir le site de la Ligue Protectrice des Oiseaux de l’Aude : aude.lpo.frListe commentée des oiseaux de l’Aude : cliquez làVisionner les journaux trimestriels de la LPO présentant les actualités de l’association : vie associative, programmes de conservation, présentation d’espèces de notre département, observations ornithologiques remarquables, …. en cliquant ici
Lire le cahier technique de LIFE EDEN “Agir pour concilier protection des oiseaux nicheurs et fréquentation touristique des plages et lidos” cliquer ici
Mangeoires pour oiseaux : cliquer là
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Feuilleter les carnets du PARC :
– “Les oiseaux du Parc Naturel Régional” : Cliquez ici (cliquez à droite sur “Feuilleter le carnet”)
– “Insectes et autres petites bêtes” : Cliquez là
– Sites à découvrir : cliquez là
A La Palme, vous pouvez observer les oiseaux sur la lagune déclérée site d’intérêt européen NATURA 2 000 et zone humide d’importance internationale RAMSAR.
N’oublions pas la devise des photographes animaliers et des naturalistes : « observer sans jamais déranger »
Protéger, sauver, prévenir : cliquez ici pour obtenir plus d’infos
www.languedoc-nature.com www.facebook.com/languedocnature
Read brochure : Where to wath bird in the Narbonnaise Regional Nature Park : click here.
Birdwatching in Narbonaise Regional Park : www.languedoc-nature.com/ecotourism-birdwatching-narbonaise-regional-park
Les flamands roses de l’étang de
La Palme. Crédit photo : Gérard ROMERO
Le Flamant rose de la famille des Phoenicopteridaes est l’espèce de flamant la plus largement répandue.
Les flamants roses constituent une espèce grégaire, vivant en groupes comptant souvent plusieurs centaines à plusieurs milliers d’individus.
Leur plumage, à qui ils doivent leur nom, est en grande partie blanc rosâtre. Ce sont les couvertures alaires qui, chez le flamant rose, revêtent une couleur rose intense, avec des rémiges primaires et secondaires noires. Le bec, unique parmi les oiseaux, est courbé et sa morphologie permet la filtration de la vase et de l’eau. Il est rose également, avec la pointe noire. Les pattes, longues et fines, sont roses chez l’adulte. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu’ils consomment.
Les sites qui fournissent les conditions adaptées à la nidification de cet échassier écologiquement spécialisé sont très rares. Il s’agit de vastes zones aux eaux saumâtres peu profondes, dotées d’îlots, riches en nutriments et à l’abri des humains.
Source : fr.wikipedia.org
Le Petit Gravelot (Charadrius dubius) est une espèce d’oiseau aquatique du groupe des limicoles qui appartenant à la famille des Charadriidae. C’est une espèce très répandue en Europe continentale et en Asie.
Le nid est une simple dépression dans laquelle sont placés les œufs, ces derniers étant de la même couleur que le milieu pour éviter la prédation. Attention alors à ne pas écraser les nids au sol, présents à La Palme au bord de l’étang, du Salin et sur la plage.
Le Chardonneret élégant est un petit passereau, d’une taille inférieure à celle d’un moineau et facile à reconnaître. En effet, l’adulte a une face rouge sang et une grande zone jaune citron sur l’aile. Le dessus du corps (manteau, dos et scapulaires) est brun chamois. cris sont typiques “tsi du dut”, “ti pi dit”, un “tchuii” montant, etc.
Le Chardonneret élégant est un oiseau assez commun des milieux boisés ouverts, qu’ils soient feuillus ou mixtes. On le trouve le long des plans d’eau, dans la garrigue ou le maquis méditerranéen. On peut observer des groupes de plusieurs dizaines d’oiseaux voletant ensemble, se nourrissant ensemble dans les hautes herbes ou sur les arbres porteurs de graines. Comme tous les passereaux granivores, les chardonnerets ont un besoin physiologique d’eau et doivent s’abreuver. Ils en profitent pour se baigner. C’est souvent au bord de l’eau que l’on peut faire de belles observations de ces oiseaux.
La parade nuptiale prend place en fin d’hiver au sein des groupes. Le mâle s’approche de la femelle convoitée, fait le dos rond tout en se tournant de droite à gauche, les ailes alternativement ouvertes, probablement afin d’en exhiber la couleur jaune, et en déployant la queue de manière à exposer les taches blanches des rectrices. La parade comprend aussi des offrandes de nourriture, que la femelle accueille penchée en avant, ailes tremblantes, comme un jeune se faisant nourrir.
Tiré de l’article www.oiseaux.net
Cette oiseaux migrateur aux hallures exotique est une visiteuse d’été et annonce souvent les beaux jours.
Hallure élancée et le cou en avant son plumage orange, noir et blanc ne le laisse pas passer inaperçu. Son long bec recourbé lui permet de fouiller le sol avec efficacité à la recherche de vers ou les troncs d’arbres pour en extraire les insectes. Lorsqu’elle est en alerte elle dresse sur sa tête sa huppe spectaculaire à rayures en forme de faisceaux (d’où son nom de «fasciée»). son chant particulier très monotone et répétitif «Houp, houp, houp ! » peut s’entendre jusqu’à 3 km ; très efficace pour trouver un partenaire. Nidification : creux de tronc d’arbre, anfractuosité de roche ou fissure de mur. Si il est dérangée il abandonne son nid. Au printemps, lorsque les petits naissent, on peut observer un ballet incessant des parents, revenant au nid avec de pleines béquées d’insectes
Photo : www.faune-lr.org – Tiré de l’article de www.ladepeche.fr
Le Serin cini (Serinus serinus) est une espèce d’oiseaux de la famille des Fringillidae. C’est une espèce largement répandue en Europe, proche du fameux Serin des Canaries.
Outre sa petite taille, ce passereau d’humble apparence se distingue par sa silhouette plutôt ronde et son bec très court, de forme conique.
Le mâle a la tête et la poitrine d’un jaune vif avec des reflets verdâtres, de même que le croupion. Ses joues sont vert olive. Le dos et les ailes gris-vert sont rayés de stries sombres tout comme le ventre qui est de teinte plus claire. À l’automne son plumage perd toutefois en éclat, le jaune de la face et du poitrail s’atténue jusqu’à disparaître complètement.
La femelle est à peu près similaire, mais plus terne et plus nettement striée.
Les jeunes ont une robe brunâtre et rayée qui ne présente aucune caractéristique susceptible d’attirer l’attention, et sont de ce fait plus difficiles à identifier.
Les yeux sont marron foncé et les pattes gris foncé.
Le Serin cini est sédentaire dans notre bassin méditerranéen sur toute une large zone côtière.
Tiré de l’article fr.wikipedia.org
L”Outarde canepetière est une espèce protégée-au niveau national.
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Migratrice partielle, la Canepetière hiverne dans le sud de la France. Une seconde population, en grande partie sédentaire, occupe le pourtour méditerranéen.
Cette outarde habite en toutes saisons les plaines à végétation herbacée, de préférence sur des terrains secs situés dans des régions à climat chaud et ensoleillé. La steppe à graminées était sans doute son habitat originel. Pour ce qui concerne la population méditerranéenne sédentaire, les habitats d’hivernage occupés sont essentiellement les milieux annexes : vignes, pelouses rases, chaumes,…
Les oiseaux « sédentaires » du pourtour méditerranéen : les populations se déplacent entre sites d’hivernage et de reproduction
Le Guêpier d’Europe, avec le martin pêcheur sont sans doute les plus beaux oiseaux que l’on peut voir en occitanie ou du moins les plus richement colorés.
De la taille d’un merle, il mesure de 27 à 29 cm et pèse de 45 à 80 g. Grégaire et se déplaçant souvent en petites bandes, il s’annonce par des cris caractéristiques fait d’une succession de trilles roulées.
Il apprécie les insectes comme les libellules et les hyménoptères (guêpes, abeilles, bourdons, frelons) et en complément d’autres insectes volants comme les odonates par exemples.
Au mois de mai le Guêpier d’Europe revient de ses quartiers d’hiver d’Afrique de l’Ouest et se regroupe en petites colonies de quelques individus ou dizaines d’individus. Ces colonies s’installent dans des zones comprenant des petites falaises de terrain meuble à proximité d’eau, berges de rivières, voire proche d’une pièce d’eau indépendante (mare, ancienne gravière…) où les berges lui permettent de creuser son terrier, falaises, carrières et remblais, ou parfois un simple petit talus. C’est dans ces parois verticales qu’il creuse avec son bec un terrier de plus d’un mètre de long, la femelle y dépose 6 oeufs, fin mai début juin qui sont couvés pendant 3 semaines.
L’espèce est sensible aux dégâts des pesticides qui déciment leurs proies.
Le Martin–pêcheur d’Europe est un petit oiseau trapu facilement reconnaissable grâce à ses superbes couleurs.
Taille de l’oiseau : 16-17 cm Envergure : 24-26 cm
En Midi-Pyrénées, on le retrouve le long de la plupart des cours d’eau de la région et autour des grands plans d’eau, il est une espèce caractéristique et emblématique des milieux aquatiques.
Il se nourrit essentiellement de petits poissons tels que vairons, épinoche, truites, chabots, perches, ou brochets ne dépassant pas 12 cm environ. Quelques insectes ainsi que crustacés ou batraciens peuvent compléter son régime alimentaire.
Le Martin–pêcheur niche dans un terrier creusé habituellement dans les berges.
L’éphippigère des vignes est une grande sauterelle qui se distingue facilement de ses congénères par son thorax en forme de selle de cheval, elle porte d’ailleurs pour cette raison aussi le surnom de “porte-selle”.
L’Ėphippigère des vignes, ou Ephippiger ephippiger, est une grosse sauterelle de couleurs variables (du vert uniforme au noir zébré de jaune en passant par le brun et le beige) qui vit dans les prairies et buissons.
Elle appartient à la famille des Bradyporidae. Ses noms vernaculaires sont aussi variables que ses couleurs, puisque l’on appelle aussi cette sauterelle “porte-selle”, “porte-hotte”, “porte-croix”, “jeudi”, “patangane”, “boudrague” ou “tizi” dans le Sud de la France. Le nom de porte-selle est dû à la forme du thorax des éphippigères qui est incurvé et ressemble à une selle de cheval.
Source : www.myrmecofourmis.fr
Crédit photo : Gérard ROMERO
(Sus scrofa)
Le Sanglier, est une espèce de mammifères omnivores, forestiers de la famille des Suidés. Cette espèce abondamment chassée est aussi considérée comme une espèce-ingénieur, capable de développer des stratégies d’adaptation à la pression de chasse, ce qui lui confère parfois un caractère envahissant. Une femelle de sanglier est une laie et un jeune sanglier âgé de moins de six mois, à la livrée rayée, est un marcassin.
Le sanglier est essentiellement nocturne (une évolution peut-être due à la présence de l’homme). Il est plutôt sédentaire et apparemment attaché à son territoire quand il est entouré d’obstacles. Il peut parcourir plusieurs dizaines de kilomètres dans la nuit et son aire vitale peut atteindre de 100 hectares à plus de 1 000 ha.
Régulièrement, le sanglier se vautre dans la boue dans des lieux appelés « souilles », et se frotte avec insistance contre les troncs d’arbres avoisinants pour se débarrasser d’un certain nombre de parasites, réguler sa température corporelle et marquer son territoire. Il dort dans de petites dépressions du sol, sèches, bien dissimulées, nommées « bauges ». Ils forment des troupes (ou bandes) appelées hardes de six à vingt individus
Le Ragondin est une espèce de mammifères.
Poids moyen : 5-9 kg en moyenne 7 kg
Taille : un corps de 40-60 cm et une queue de 25 à 45 cm.
Le ragondin est reconnaissable à ses quatre grandes incisives orange, comme chez les castors, mais tirant plus sur le rouge et possède une queue, longue et cylindrique comme celle du rat. Ayant une nage similaire au castor, il y a parfois confusion entre les deux espèces.
Ce gros rongeur, originaire d’Amérique du Sud, a été introduit pour l’exploitation de sa fourrure bon marché. Mais on le dit nuisible, il perfore les canaux pour se confectionner de nouvelles galeries.de 6 à 7 m. les terriers du ragondin participent à la déstabilisation des berges. Par la quantité de terre exportée dans l’eau à chaque terrier creusé, le ragondin provoque également l’accélération du comblement des fossés. Introduit en France au 19ème siècle ;sa bonne adaptation aux conditions climatiques et son bon taux de reproduction ont grandement favorisé la multiplication des élevages en France. Heureux comme des poissons dans l’eau dans les berges ces castors des marais, aux dents longues sont sans doute arrivés par le canal du Midi. Se sont des goulus et des infatigables tunneliers…
On le trouve essentiellement dans les milieux aquatiques d’eau douce, parfois saumâtre ; les rivières lentes, les marais et les lagunes… Il aime les eaux stagnantes et envahies par la végétation car il se plait dans les hautes herbes.
Son régime est normalement constitué, de racines, d’herbes, de glands ou autres. Néanmoins, il s’adapte très vite aux ressources disponibles sur son territoire.
Ses prédateurs sont le renard, le froid (Lors d’hivers rigoureux, de nombreux ragondins ont la queue qui gèle, ce qui dégénère en gangrène mortelle), les chasseurs et les piègeurs.